Will Guthrie

Théâtre de l’Usine

Un non-solo de batterie se voulant une modulation de divers rythmes allant et venant. Le tout:  très fort, très énergique, très physique et très intense, par l’une des pièces maîtresse de la scène expérimentale australienne et excellent, très excellent batteur.
Le challenge de Will Guthrie ce soir, pour un set donc très particulier et encore une fois très physique; rassembler d’un seul coup toutes ses influences éparpillées : la tradition, la pulsation conflictuelle, squarepusher, cecil taylor, tim goldie, art ensemble of chicago, whitehouse, l’indépendance, la dependance, l’interdépendance, l’abstraction, la conduit en état d’ébriété, noonah, la polyrythmique, henry threadgill, PiL, jerome noetinger, the ames room, the necks, gravel rash, el tribal, el flamenco, caboose, ! free-jazz, ‘improvised music’, l’improvisation, l’Appalachian music, les structures compositionnelles , les guides pour improviser, l’élasticité, l’électroacoustique, l’acoustique, la tape music, le « loud », le long, le « strong », l’heavy trance, l’explosivité, l’énergétique, la virtuosité, « just the drums », le west african pop, le rigide, otomo yoshide, le « slowly elvolving », etc, etc…
Un fucking programme pour une fucking intervention en perspective…
Sixto – cave12